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Stop
Que se passerait-il
Si je devais mourir
Là juste là
Maintenant
Je m'abîmerais
En moi-même
David Parsons- Abode of Shiva (début)
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Commentaires
Coucou Aloysia,
J'y pense toujours lorsque je roule en voiture, un accident est si vite arrivé ! Je crois que je ne verrais même pas ma vie défiler, tout irait trop vite, mais l'adrénaline qui monte, je connais !
Bon dimanche
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Dimanche 1er Octobre 2017 à 09:39
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Qu'y a -t-il au bout du chemin ??? Une autre vie ???
Bises Aloysia et merci pour tes gentils commentaires...
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Dimanche 1er Octobre 2017 à 17:28
Le chemin n'a pas de bout ! Il n'y a pas d'autre vie ! Merci Kimcat pour ta gentillesse...
La vie est là, tout simplement. J'aurais pu écrire à la place : "que se passerait-il si je naissais, là, juste là, maintenant ?" C'est exactement pareil. En "mourant", je perds passé, futur, repères, identités... En naissant, je me retrouve également dénuée de tout cela.
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Bonjour Martine !
Tout au bout de la route, contre l'arbre, je vois une échelle invisible où tu pourras venir poser tes pieds en silence et ...observer, veiller, envoyer des baisers cueillis des nuages, des signes comme des petits cailloux blancs parsemés sur les chemins obscurs ....!
Châle-heureuse-aimant : sabine
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Dimanche 1er Octobre 2017 à 17:30
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8gazouMardi 3 Octobre 2017 à 13:28Il y a quelques années, suite à un incident cardiaque, j'ai cru que j'étais en train de mourir, tandis que mon époux appelé le SAMU et avant que je ne sombre dans une syncope.
Je croyais vraiment que je mourais. Ma dernière pensée consciente :
— « zut ! J'ai oublié d'éteindre mon ordinateur… »
je n'ai donc pas eu de pensées psycho- philosophico- religieuse… et pourtant je suis un méditatif, j'aime l'introspection et on me dit quelque peu mystique…
Depuis, je vois la perspective de la mort tout autrement…
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Mercredi 4 Octobre 2017 à 16:45
Il faut lire "épouse"… l'époux, c'est moi…
;-))
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Mercredi 4 Octobre 2017 à 17:52
Merci, je me posais des questions (d'autant que dans une des nouvelles je prenais "Jade et Camille" pour deux filles...)
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Oui, quand on est pris de court je comprends bien que c'est ce genre de pensée qui vient... Et si c'est dans un accident de voiture je pense que c'est encore plus réduit, peut-être seulement "merde !" et c'est tout ! J'ai voulu ici reprendre en raccourci un récit de Jean-Yves Leloup je crois qui tient bien en une page. Il évoque un personnage qui cherche l'éveil depuis des années en vain, et à qui son instructeur parvient soudain à faire croire qu'il a une maladie incurable et n'a plus que 8 jours à vivre. Du coup, sous l'effet du stress, les barrières mentales peuvent tomber.
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Sur le coup de Jade et Camille... tu n'as peut-être pas tort.... va lire la suite...
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Sur la méthode du personnage en question, je la trouve un peu hard !
Cela dit je ne sais ce que ce personnage entend par « éveil », car c'est un mots en forme de sac dans lequel on met plein de choses très diversifiées…
peut-être espère-t-on une sorte de déclic magique intérieur en forme de feu d'artifice ?
Pour ma part une expression me parle ( par l'expérience) : c'est celle de « veilleur de conscience ». la mienne évidemment. Pas celle des autres à qui je n'ai rien à démontrer…
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Jeudi 5 Octobre 2017 à 15:38
Tu as raison, Alain, tu n'es pas le seul à te poser cette question à laquelle je réfléchis également...
Quant à la question de "la mort", ce fut à la mode sans doute à une certaine époque car j'ai participé à un séminaire où on nous a proposé de nous mettre en situation de penser que nous allions mourir incessamment, et à l'époque, après avoir abondamment pleuré sur mes enfants encore petits je me suis imaginé que je sortais de mon corps et que tout était super ! Depuis j'ai beaucoup de doutes sur la validité d'une telle expérience.
Cependant cette fois j'ai évoqué cette idée juste pour stopper l'activité mentale.
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C'est très beau !
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Mardi 21 Novembre 2017 à 12:20
Evidemment je ne dis pas grand chose en disant cela ! mais que dire.... je sais que certaines méditations nous demandent d'imaginer notre mort... mais il y a tant à faire en étant vivant et je n'ai aucune réponse, aucune certitude de quoi que ce soit ! User son corps jusqu'à l'ultime limite ? Veiller à ce qu'en soi les choses restent souples ? Le peut-on réellement ? N'est-ce pas prétentieux comme objectif ? Accepter même le durcissement (car tout refus est déjà un durcissement) ? Aimer ? Aimer tout, sans rien retenir ? jusqu'au bout
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Mardi 21 Novembre 2017 à 14:34
J'aurais dû te répondre, Carmen. Mais ce que tu ajoutes est très juste, et je t'en remercie.
Il m'arrive bien souvent moi aussi, de ne savoir formuler d'autre appréciation sous tes poèmes que : "c'est beau"...!Un poème est juste un ressenti de l'instant et n'appelle parfois pas beaucoup de commentaires.
Je t'embrasse et te remercie de tes visites.
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Un paysage fabuleux
Poursuivre la vie
C'est encore mieux comme idée
Bon mois d'octobre
La question est de savoir qui meurt et qui vit...
Bises, Rose !