-
Chute
-
Commentaires
Alors j'entends la vie qui tombe en cataracte, en cascade, en chute
Chut ............
Bisous
Belle journée, Fontaine la bien nommée.
Bonjour Océanique, oui, la vie bouillonne mais au-delà des bulles, le silence...
et quend le silence s'installe trop...............les mots ne sont plus prononçables ni même ne viennent à l'esprit...........le néant. (état d'esprit) bizzzzzzz
J'ai souvent l'impression que nous n'avons besoin des mots que pour dire ce silence, où tout se résume.
Un merveilleux ensemble dans le choix de l'image, le choix des mots, la construction graphique et la chute, merci Alyosa ! Bises. brigitte
13thierryMercredi 26 Août 2015 à 14:44Les clameurs de la ville , les clameurs de la vie, et tout ce bruit serait pour rien, ou pour dire quoi exactement ? Dans le brouhaha indistinct, de quel discernement puis je me prévaloir exactement ?
Torrent violent qui frappe la paroi et qui échappe à la falaise, dans ce voile de marié je distingue l'union du minéral et de l'organique au point de séparation gravitaire, la différence entre le figé et le mouvant, tout ceci est émouvant mais se passe largement de commentaires.
La nature est belle par elle même, elle se suffit, mais manifestement ne nous suffit pas!
quelle erreur grossière.
-> Brigitte : j'ai même longuement travaillé l'image pour en obtenir ce que je voulais... de même que la forme du poème, qui a été modifiée moult fois. Merci de ton appréciation !
-> Thierry : même le bruit est silence. Vincent mit l'âne dans un pré et s'en vint dans l'autre ; vingt cent mille ânes dans un pré en cent vingt dans l'autre ; combien y a-t-il de pattes et d'oreilles ? Zéro. Aucune.
17thierrySamedi 29 Août 2015 à 07:21Oui Aloysia je connais cette arithmétique bestiale mais je ne vois pas le rapport avec le silence, sauf à chercher l'âne qui fait du bruit intempestivement ! Un temps festif les équidés qui ahannent sous la charge conduisirent Stevenson à travers les Cévennes à bon port sans trop le faire braire ni l'abstraire des paysages, encore que le lait d'ânesse conjugué au droit d'ainesse devait laisser des belles tresses. On dit que Cléopâtre en fit ses délices mais avait elle donné les clés au pâtre ? Bref de toutes ces pattes et oreille qu'il faut tendre finement pour entendre quelque chose de signifiant on retiendra l’ouïe qui luit dans la pénombre.
Ajouter un commentaire
Bonsoir Aloysia,
Chut ! qui n'empêche pas l'envoi d'une bise .