• Chute

     

     

     

    Passé  l’irrépressible  déluge  des  mots

      

                                                                      s’ouvre

     

     

                                                                          un

     

     

                                                                        puits

     

     

                                                                          de

     

     

     

                                                                      Silence

     

     

                                                                          . . .

     

     

                                                                         .  .  .

     

     

                                                                        .   .   .

     

     

     

     

    « Il est gonflé !Séparation et insécurité »

  • Commentaires

    1
    Dimanche 23 Août 2015 à 19:31

    Bonsoir Aloysia,

    Chut ! qui n'empêche pas l'envoi d'une bise .

    2
    Dimanche 23 Août 2015 à 19:42

    Les bisous sont autorisés, encouragés même. smile

    3
    Lundi 24 Août 2015 à 08:33

    ......

    Bise et belle journée.........

    4
    Lundi 24 Août 2015 à 08:49

    Alors j'entends la vie qui tombe en cataracte, en cascade, en chute

    Chut ............

    Bisous

    5
    Lundi 24 Août 2015 à 09:32

    Belle journée, Fontaine la bien nommée.

    Bonjour Océanique, oui, la vie bouillonne mais au-delà des bulles, le silence...

    6
    Lundi 24 Août 2015 à 10:37

    Quand tout est dit.... Silence s'impose...

    7
    Lundi 24 Août 2015 à 14:46

    Et faire le tour de tout ne prend qu'un temps...

    8
    Lundi 24 Août 2015 à 18:06
    renee

    et quend le silence s'installe trop...............les mots ne sont plus prononçables ni même ne viennent à l'esprit...........le néant. (état d'esprit) bizzzzzzz

    9
    Lundi 24 Août 2015 à 18:15

    Tout à fait, Renée.

    10
    Mardi 25 Août 2015 à 01:23

    J'ai souvent l'impression que nous n'avons besoin des mots que pour dire ce silence, où tout se résume.

    11
    Mardi 25 Août 2015 à 09:59

    Tu te sers si merveilleusement des mots, Carole,  que je ne saurais te contredire.

    12
    Mercredi 26 Août 2015 à 13:13

    Un merveilleux ensemble dans le choix de l'image, le choix des mots, la construction graphique et la chute, merci Alyosa ! Bises.  brigitte

    13
    thierry
    Mercredi 26 Août 2015 à 14:44

    Les clameurs de la ville , les clameurs de la vie, et tout ce bruit serait pour rien, ou pour dire quoi exactement ? Dans le brouhaha indistinct, de quel discernement puis je me prévaloir exactement ?

    Torrent violent qui frappe la paroi et qui échappe à la falaise, dans ce voile de marié je distingue l'union du minéral et de l'organique au point de séparation gravitaire, la différence entre le figé et le mouvant, tout ceci est émouvant mais se passe largement de commentaires.

    La nature est belle par elle même, elle se suffit, mais manifestement ne nous suffit pas!

    quelle erreur grossière.

    14
    Mercredi 26 Août 2015 à 15:16

    -> Brigitte : j'ai même longuement travaillé l'image pour en obtenir ce que je voulais... de même que la forme du poème, qui a été modifiée moult fois. Merci de ton appréciation !

    -> Thierry : même le bruit est silence.  Vincent mit l'âne dans un pré et s'en vint dans l'autre ; vingt cent mille ânes dans un pré en cent vingt dans l'autre ; combien y a-t-il de pattes et d'oreilles ? Zéro. Aucune.

    15
    Vendredi 28 Août 2015 à 20:51

    comme l'eau, laisser passer les mots qui préparent le silence - bises et bonne soirée 

    16
    Vendredi 28 Août 2015 à 21:15

    Bonne soirée Durgalola !

    17
    thierry
    Samedi 29 Août 2015 à 07:21

    Oui Aloysia je connais cette arithmétique bestiale mais je ne vois pas le rapport avec le silence, sauf à chercher l'âne qui fait du bruit intempestivement ! Un temps festif les équidés qui ahannent sous la charge  conduisirent Stevenson à travers les Cévennes à bon port sans trop le faire braire ni l'abstraire des paysages, encore que le lait d'ânesse conjugué au droit d'ainesse devait laisser des belles tresses. On dit que Cléopâtre en fit ses délices mais avait elle donné les clés au pâtre ? Bref de toutes ces pattes et oreille qu'il faut tendre finement pour entendre quelque chose de signifiant on retiendra l’ouïe qui luit dans la pénombre.



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