Voici un poème dans lequel on ressentira la fréquentation de Tagore et de Kabir. Cependant sa composition correspond également à l'écoute d'une Étude de Liszt intitulée Vision (ici). Quand mon Bien-Aimé marche Le sol est ébranlé les gazelles s’enfuient...
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Voici un texte trouvé sur le site "Regards sur l'éveil" et publié sur son forum à la page consacrée à Swami Ramdas par Joaquim son auteur, qui y a joint quelques réflexions dont je le remercie. Comme le texte d'Arnaud Desjardin cité à côté et que je publierai...
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Voici un poème que j'avais déjà édité hier, puis supprimé... Cela m'a permis d'en ôter le titre qui ne signifiait rien. Quant au contenu, à chacun d'y voir ce qu'il veut - l'illustration pouvant aider cependant à l'interprétation... Maître Toi seul existes...
Lire la suiteCe matin, je décidai de me rendre à un cours auquel je n'avais pas assisté depuis quelque temps. Je me préparai et m'y rendis en voiture. Arrivée à proximité, la route était barrée : travaux. Je dus faire un détour. Une fois sur place, je ne repérai pas...
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Ceci est la réédition d'un poème écrit en 1977, après l'incendie de mon immeuble. La partie essentielle en a été composée tandis que, rejetée au loin par des barrières de sécurité, je me morfondais à l'idée d'avoir perdu de précieux manuscrits qui me...
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Dans ma jeunesse j'ai habité au cœur de Paris. Enfant j'étais venue à Montmartre et à Belleville visiter mes grands-parents. Amoureuse c'est dans une chambre de bonne près de la Gare Saint-Lazare que j'ai vécu, et c'est là que mon compagnon décida un...
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La beauté de ce matin mérite bien que je réédite ce poème daté d'octobre 2005. Je veux des mots d'hiver Des mots qui s'enracinent dans la fibre du temps Et qui s'en vont figés dans le gel translucide Des mots transfigurés Fulgurant au soleil Et partis...
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Hector Berlioz, en tant que commentateur au Journal des Débats ( ici ) sur la question du Théâtre Lyrique, plaisantait en 1863 autour d'une représentation d'Ondine (un opéra-féerie tombé totalement dans l'oubli) en évoquant l'adage latin sans doute issu...
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En hommage à Jack. Du Silence a jailli la profusion des fleursElles m’embaument de délicesEt je m’efforce d’effacer de Ton visageLes traces qui l’ont recouvert De la splendeur du PèreJaillissent les mots du Silence Le Silence des cimes miroite à l’infini...
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Voici un poème de Rabindranath Tagore, tiré de l'Offrande Lyrique (traduit par André Gide). Mais comment Toi tu chantes, Maître, je l’ignore ! Et j’écoute toujours dans l’éblouissement silencieux. La lumière de ta musique illumine le monde. Le vital souffle...
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