(Que celui qui connaît l'auteur de ce tableau me le signale)
Tu as posé sur moi Ton Sourire d’Amour
Et comme une luciole happée par la lumière
J’ai cessé de bouger
Et me suis enfin tue
Des hauteurs infinies où règne Ton Silence
Est descendue sur moi cette onde bienfaisante
Cette Source de flammes
Qui m’a rendu la Vie
Je ne puis que T'offrir à présent mes désastres
Me libérer enfin du carcan des possibles
Et attendre à Tes pieds
Que Ton bras me relève