Observation du corps soumis au Souffle.
Tant que cela craque, qu'il y a des à-coups - suffocations, sanglots... - , c'est le cœur qui se déploie tel un immense parasol dont les jointures claquent à l'ouverture.
Mais quand il est ouvert semblable au cerf écartelé dont la peau s'offre au vent, alors la Plénitude s'enfante d'elle-même et il flotte radieusement dans le courant au gré d'une imperceptible Respiration.