Un instant d’inconnuEt mon rêve se brise Un instant d’épouvanteEt le temps s’évanouit Et je renais de l’eauQui s’évapore O blanche retombéeDu soleil inverséRiante gelée Je me regarde au loinMourir dans le soleil Aux quatre coins de l’horizonSont mes membres...
Lire la suite(Dessin de Martine Maillard) Vois ce grand cheval bleu qui d'un sabot rageur A frappé la boue du chemin : D'un coup d'aile puissant il fuit vers la lumière Et va se confondre à l'azur. O toi que j'adore, avec toi je veux franchir les nues ! Emporte-moi...
Lire la suiteLe château de Fougères C’était dans un château qui n’avait plus de toit Un très vieux château fort qui m’était sympathique Il était haut perché on marchait à l’étroit On longeait des ravins d’une hauteur tragique Les soleil était chaud le ciel était serein...
Lire la suiteEt si mourir, c'était simplement quitter son corps et le déposer comme un vêtement lorsqu'on est fatigué ? Et si en se balançant, le vertige aidant, on pouvait soudain se retrouver... au-dessus de son corps ? C'est une question que je me suis posée il...
Lire la suite(Merci à Carine et Maude pour ce superbe cliché, pris à Machu Picchu ) Au seuil tout s'est éteint O la paix des mirages Et ce fut l'infini dans un poisson-sirène Ce fut la conque rose à l'oreille ravie A perte de regard le silence épandu Un amour sans...
Lire la suiteNote : le mot "Parthénôn" signifie en Grec "La demeure de la Jeune fille ", et c'était le Temple d'Athéna, la protectrice d'Athènes. C'est donc à elle que s'adresse ce poème "païen". ( Le Parthénon au soleil levant) O Reine de clarté qui trônes dans ton...
Lire la suiteL'Aile qui emporte, l’Âme qui inspire... L'infiniment grand, l'infiniment petit ; l'infiniment élevé, l'infiniment profond ; l'infiniment extérieur, l'infiniment intérieur ; l’Éternel Masculin, l’Éternel Féminin... Dans l'immensité, c'est le féminin qui...
Lire la suiteVoici une ode à cette Lumière que l'on finit toujours par retrouver après la nuit, après l'hiver, au bout du tunnel, au bout de l'angoisse, et qui nous ressource, qui nous guérit, qui est notre pôle positif et ce vers quoi en définitive, en êtres verticaux...
Lire la suiteLe bois est plein d’oiseaux chanteurs, Les bosquets sont nappés d’argent, La nuit s’éclaire de la couleur des lampes ; Le vent remue les branches comme on presse un aimé : Il passe, effleure les cheveux des arbres Qui se dressent, puis retombent, Et il...
Lire la suiteCe poème est le résultat de ma plongée dans l'astrophysique ... Je craque une allumetteL’univers se déplieComme un ressort lâchéDes bulles de lumièreDérivent dans la nuit Je souffle sur les bullesEt les voici qui fuientBrillantes transparentesIrisées...
Lire la suite