À l’instant même où l’eau cesse de heurter la roche
Et la folie de déverser ses rancunes,
Le prisonnier s’échappe de sa prison souffrante
Et le voyage vers l’inconnu commence…
C’est le silence d’une étendue sans fin
Où le soupir se pose sans un bruit.
Je dors, ouverte à l’espace étoilé
Qui libère sans fin ses flammes bienfaisantes.
Et le Cœur souriant, aveuglé de promesses,
Grandit à l’infini nourri de Sa lumière …