Début de la visite ici.
Beauval est peut-être un parc immense ; mais il contient tant d'espèces, que finalement beaucoup se trouvent dans des espaces étroits ; et même s'il leur est donné suffisamment pour s'épanouir, l’œil du visiteur ne peut faire abstraction des cages, et même des baies vitrées astucieusement ajustées pour permettre la vision subaquatique.
De plus, le jour de mon passage il circulait une foule énorme !
Mais peu importe au manchot de Humboldt, qui comme bien d'autres n'en avait cure, étant fort habitué à ce trafic perpétuel.
L'image est plaisante mais lorsque l'on approche, c'est plutôt ceci que l'on découvre :
Notez qu'on leur a greffé quelques petits "palmiers", acclimatés je ne sais comment, et qui surprennent les profanes que nous sommes, persuadés qu'il s'agit d'animaux habitués aux grands froids... Ne nichent-ils pas en effet en abondance dans les régions équatoriales ?
Élevons-nous d'un étage pour les voir dans l'autre sens !
Et maintenant, pour saisir leur jacassement perpétuel, leurs cris rauques et leurs allées-venues incessantes, j'ai pris une petite vidéo... qui n'a pu éviter l'enregistrement des voix humaines présentes aux alentours.