•      Fin juin j'ai passé une semaine à Saint-Palais-sur-Mer, en Charente Maritime ; plus exactement juste au bord de la plage de Nauzan, à la limite de Vaux-sur-mer en direction de Royan.

         Pas de touristes ! Et déjà du beau temps ! Le rêve !

         En voici quelques traces...

     

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    L'entrée de la plage. Personne... Pas de voiture... ni de barrières !
     

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    Vue de la plage déserte... Il faisait encore un peu frais.
     

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    Du même point vers la droite. Pas de régates ! Personne sur la plage ! (ou presque...)
     

    StPalais 1 06

    Au loin, un bateau quitte l'estuaire de la Gironde, dont l'autre rive est visible à l'horizon.
     

    StPalais 1 07

    Même vue moins zoomée. Oui, Saint-Palais regarde vers le sud, et on voit bien l'autre versant de l'estuaire, avec la pointe de Grave. C'est d'ailleurs sans doute ce qui y rend les flots si calmes, parce que l'endroit est abrité.
     

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    Le petit bateau s'éloigne
     

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    Vue vers le versant Vaux-sur-Mer. Ce jour-là il faisait déjà très chaud et la vue est prise tard le soir. La mer était à son point le plus bas.
     

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    Vers le large, encore un gros bateau...
     

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    De l'autre côté, la pointe dont on fait le tour par une ravissante promenade de corniche.
     

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      En voici un aperçu, pris sous une chaleur accablante...
     

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      Laissons le bateau s'éloigner, et allons dîner sur la digue !
     

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    Bon appétit !

     

     

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  •  

        Oui, me voici enfin de retour, ayant prolongé mon séjour de deux jours, histoire de confirmer que je suis en retraite.

         Il faut dire que cette année, j'en ai vraiment profité : je suis partie trois fois ! Veinarde...

        Mais alors, bon, si j'ai prolongé mon séjour c'est aussi qu'il n'a pas très bien commencé... Partie du Berry pour me rendre dans les gorges de l'Hérault, je n'avais que de l'autoroute (et gratuite sur les deux tiers du trajet !), mais j'ai eu la bonne idée de démarrer très tôt.

        C'est une autoroute superbe : elle traverse l'Auvergne, avec à Issoire la traversée des gorges de l'Allier, puis la Lozère, avec un parcours sur des kilomètres à une altitude évoluant de 850 à 1300 mètres (ça ne vaut pas les 3600 mètres de l'Altiplano vu hier dans "Rendez-vous en Terre inconnue", mais tout de même) ; enfin elle arrive à Millau, au fameux viaduc.

         Je m'étais mis dans la tête que pour bien le voir il fallait quitter l'autoroute à Millau, et je me suis lancée dans un dédale de petites routes où l'embrayage a été bien sollicité car je suis remontée par un raidillon où je devais passer la première à chaque virage.  

        N'importe, c'était joli. J'en ai tiré de belles photos du viaduc.

     

    Voyage Hérault 1 010(cliquez pour agrandir, ainsi que pour les suivantes)

     

        Nous avons fini par déboucher sur la nationale en plein milieu du Causse du Larzac  que je découvris avec émerveillement.  

     

    Voyage Hérault 1 013

     
       Mais la faim se faisait sentir, et l'affluence de ce premier samedi de septembre rendait les quelques haltes possibles peu attirantes. De plus il me fallait de l'essence.

          Je m'arrêtai donc enfin une trentaine de kilomètres plus loin, après avoir repris l'autoroute, au lieu dit "Le Caylar" : de magnifiques chaos de rochers nous y attendaient, mais aussi un parking monumental totalement surchargé, et des pompes à essence inabordables tant il s'y trouvait de monde.

           Et c'est là que tout a basculé... Ça a fait juste deux fois "tic" sous ma pédale d'embrayage, et puis... plus moyen de débrayer. Rien à faire pour passer la moindre vitesse.

          Deux messieurs ont eu la gentillesse de pousser ma voiture vers un emplacement "handicapé" (c'est tout ce qu'il y avait de disponible dans les environs, et je n'aurais pas pu m'en sortir seule car cela  montait légèrement !), et je me suis mise en demeure de chercher une dépanneuse.

       Après bien des angoisses et des difficultés pour obtenir les communications (heureusement que j'avais un portable) j'obtins le dépanneur par le biais de la caisse de la station ; mais, envers de la médaille, celui-ci arriva si vite que nous ne pûmes pas songer à déjeuner.

         Par contre une fois là le véhicule tournicota pendant une heure à la recherche d'un autre sinistré, qu'il ne trouva pas et remplaça par un camping-car néerlandais dans le même cas mais qui n'avait pas eu le temps d'appeler.

     

    Voyage Hérault 1 017


         Pendant ses circonvolutions j'ai essayé de prendre des photos de la vitre du camion : nous entrions juste dans la région de Lodève, et c'est là que le paysage devenait magnifique ! 

       Mais en attendant nous étions bien dans la panade, avec tous nos bagages et nos deux chiens.

     

    Voyage Hérault 1 020


        De plus mon excellente assurance m'aurait rapatriée chez moi ou conduite en taxi jusqu'à ma location ; mais hélas, il était impensable de rester tout le week-end bloqué dans un mobil-home en pleine campagne, et je devais absolument trouver une voiture à louer à mes frais ! Il faisait une chaleur affreuse, et tous les véhicules disponibles dans le coin étaient déjà loués...

          Enfin le patron de l'entreprise de dépannage, qui s'était gentiment chargé d'appeler tous les loueurs qu'il connaissait, en découvrit un nouveau, pas loin, qui avait encore à notre disposition une petite Fiat diesel !

          Le transfert des chiens et des bagages fut pénible... Mais la petite voiture, ma foi, s'est montrée super sympa à conduire, quoique légèrement plus petite que la nôtre pour la fin du voyage. On était presque arrivés !

        ... Vers 18 heures, épuisés, affamés, assoiffés, surchauffés, nous arrivions dans notre havre de paix.

     

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        Et le comité d'accueil nous attendait : Léon (le noir) et Fanny (la grise). Pas dépaysés avec le Berry et son Grand Noir...

     

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         Que d'aventures !! 

     

    À suivre ici

     

     

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  •  
             Commençons à nous promener le long des gorges de l'Hérault...

         Je ne vous dis pas le monde encore ce premier dimanche de septembre où il fait beau et chaud !

         Nous filons donc sans demander notre reste sur la montagne, qui elle est déserte.

    (cliquez sur les photos pour les agrandir).

     

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         J'adore ce paysage de maquis tout garni de rocailles... Nous arrivons au village de Causse-de-la-Selle, surprises d'y trouver un château.

     

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             J'aimerais vivre là ! Mais nous obliquons vers la gauche pour ne pas rejoindre les routes larges des vallées, en espérant poursuivre par la montagne.

        Nous rencontrons des vignes et des champs d'oliviers. Et moi qui avais tant entendu parler du grand âge des oliviers, je suis toute surprise de découvrir que dans les oliveraies ils semblent tout jeunes ! Sans doute est-ce préférable pour la production des olives.

     

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          Partout de magnifiques grappes noires, prêtes pour la cueillette... Nous goûterons ce vin, et serons surprises de la variété immense des productions (chaque viticulteur vend ses propres bouteilles ; sans parler de ceux qui gardent leur vin et ne le vendent pas !), autant que de la qualité de certains crus. A chaque repas, pendant une semaine, une bouteille de rosé différente et toujours issue des environs immédiats.

     

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           Mais impossible de revenir autrement que par les gorges. Bonne nouvelle ! Il va y avoir moins de monde et on va les voir dans l'autre sens. Seul hic : c'est septembre, et le soleil a déjà fâcheusement baissé.

     

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             C'est la redescente parmi les cailloutis, jusqu'à une sorte de barrage qui laisse apparaître un passage circulaire taillé par l'eau en pleine roche.

     

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             À partir de là nous nous engageons dans le défilé, et je peux m'arrêter pour photographier...  

     

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           ... Et je comprends pourquoi il y avait tant de voitures tout au long des gorges : les gens du coin s'arrêtent partout et descendent au fleuve de partout pour s'y baigner. Pourtant il y a un sacré dénivelé, mais bon, ils sont sportifs. Et même, regardez bien : ne voyez-vous pas un petit point dans le fleuve au fond à droite ? (Agrandissez).

     

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           Deuxième photo prise juste après et recadrée pour mieux voir : au fond, la route avec une voiture ; dans l'eau, un nageur dont le sillon atteste qu'il vient bien de l'endroit où il était sur la première photo (je l'ai indiqué avec une flèche) ; eh bien, ce nageur, je venais de le voir sauter de la roche de gauche, depuis l'endroit marqué d'une flèche ! Comment s'y rend-il ? Mystère ! En tous cas cela doit se faire couramment, si l'on en croit ce site.

     

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         L'ombre gagne dans les gorges... Nous rentrons. Mais reviendrons lors d'autres promenades !


    À suivre ici

     

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  •      Ce lundi, nous nous réveillons sous le soleil et par la fenêtre de ma chambre de mobil-home, je vois Fanny et Léon déjà occupés à prendre leur petit déjeuner.

     

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       Je sors les saluer et admirer dans la lumière du matin l'étang qui jouxte notre habitation.

     

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        Il s'agit du dernier d'une série d'étangs créés là à partir d'une dérivation de l'Hérault, à fin d'irrigation des terres locales. On s'y baigne si l'on veut, mais nous n'avons pas osé... (pour info, nous sommes , cliquez sur "Nature, calme, pêche...").

         Ils ont dans leur pré un drôle de copain... Je n'ai jamais pu le voir de près à cause des clôtures électriques, mais si j'avais la verve de Stellamaris je lui aurais certainement consacré un petit poème. On dirait une sorte de cabri, de bouquetin... Et justement, il y en a dans le coin, vous le verrez bientôt !

     

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        Mais bon, arrive l'après-midi et nous partons en promenade.

        Manque de chance, le temps a passé à l'orage ; le mauvais temps annoncé par alerte "orange" à la météo est pour le soir ! Pour l'heure l'atmosphère reste douce et calme, quoique grise et cotonneuse, et mis à part quelques petites gouttes clairsemées nous n'avons guère à nous plaindre.

        Nous allons donc à la découverte du lac du Salagou, une merveille géologique qui me laisse pantoise.

         Le lac, artificiel, a été créé à partir de la rivière "Salagou" et repose sur un terrain particulièrement inhabituel, formé d'une terre rouge et sableuse avec par endroits des strates plus dures permettant une sorte de "sculpture" spectaculaire du paysage. Si vous visitez ici le site que lui consacre Wikipedia, non seulement vous en aurez quelques vues panoramiques ou par temps ensoleillé que je n'ai pas eu le loisir de prendre, mais en plus vous apprendrez que cette roche s'appelle "la ruffe", et est formée de sédiments argileux mêlés à de l'oxyde de fer (d'où l'étonnante couleur). En ce qui concerne les "empreintes fossiles datant du Permien" nous les verrons lors d'une promenade ultérieure...

     

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        Vous pourrez agrandir mes photos généralement jusqu'à 1024 px, car j'ai jugé que pour cette fois cela en valait la peine.

         Constatez sur cette vue la mollesse des courbes qui évoquent des dunes, avec des creux et des moutonnements presque sensuels. Une végétation pauvre croît sur ces étranges monticules, et leurs zones dénudées laissent paraître une multitude de petits cailloux dont vous verrez ci-dessous ce qu'il va advenir.

     

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        Eh oui ! Les gens les ont utilisés pour signer leur passage de manière parfois très originale !

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         Stupéfaite de l'aspect "sculpté" que prend la terre  en cet endroit j'en ai pris quantité de vues diverses. 

     

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           Ne dirait-on pas un peu l'une de ces "tourbières" que l'on rencontre en Islande ou au Canada ?

         Cependant voici une nouvelle surprise : dans le lac lui-même apparaissent, sous forme d'îles ou de presqu'îles, des cônes montagneux parfaitement dessinés comme d'incroyables "chapeaux pointus". Cônes de lave paraît-il, souvenirs d'une lointaine activité volcanique - qui est à vrai dire à l'origine de la forte teneur en fer de ce sol (voir aussi ici).

     

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             Nous approchons peu à peu de la plus éminente de ces crêtes.

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         Et nous la contournons tandis que dans le lointain le regard plonge vers la vallée qu'a envahie le lac.

     

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       Encore une fois je ne puis m'empêcher de m'arrêter pour vous montrer les sculptures curieusement taillées dans cette roche friable.

     

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          Et voilà de nouveau toute une série de "signatures" ! C'est assez joli tout de même.

     

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         Drôle de paysage n'est-ce pas ? Ces petits cônes, ces replis, ces crevasses qui ressemblent à des poteries, et ces décorations "de perles" à perte de vue...

     

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          Une route qui va jusqu'au bord... Là encore, un cône dressé ; et devant nous une vieille borne qui semble dater d'avant le lac, pour des routes qui n'existent plus puisqu'il ne subsiste que l'étroite voie par laquelle nous sommes venus, aboutissant à un simple embarcadère en "cul de sac".

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           Sur notre droite pourtant, avant de repartir, saluons ce joli petit cône surplombé d'une roche portant une croix.

     

    À suivre ici

     

     

     

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  •      Ce mardi, la pluie étant tombée avec force dans la nuit, le ciel est demeuré brumeux ... Pourtant nous avons décidé d'aller visiter le Cirque de Mourèze, qui d'après la carte semblait intéressant.
     

           La reproduction ci-dessous du secteur d'après Géoportail vous permettra de mieux situer les lieux, avec le tronçon d'autoroute de droite qui va vers Montpellier, et  celui de gauche qui descend sur Béziers (cliquez sur l'image pour l'agrandir).

     

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         Nous avons en effet été stupéfaits du paysage qui s'est offert à nous, de ces énormes roches dressées en cheminées qui surplombaient les maisons paisibles du petit village au caractère ancien.

     

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         Comment ce jardin "suspendu" avait-il pu aller se jucher au sommet de cette roche imposante et abrupte ? Perdus dans les bambous qui abondent en cette région, nous revenons peu à peu dans le village.

     

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    Un petit coup d'oeil vers ses ruelles escarpées, totalement vides en cette journée grise...

     

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         Et finalement l'absence de touristes, même si elle nous permet de stationner n'importe où, fait que nous ne découvrons à aucun moment par où entrer dans le site... et n'imaginons même pas que ce soit possible. (Pourtant si vous agrandissez cette image, vous verrez qu'à gauche il y a un écriteau portant l'indication : "Cirque"... Je viens juste de m'en apercevoir !)

            Nous suivons donc la route en nous arrêtant ici ou là.

     

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    La sortie du village vers Clermont l'Hérault.

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    Impressionnant front hérissé.

     

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    Chouettes rochers.

     

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    Nous essayons de partir à pied, mais ça ne mène nulle part !

     

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    On en voit quand même d'assez extraordinaires, même si le temps rend la photo blafarde et les lointains fantomatiques.

     

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    Impressionnante tour fendue qui semble s'ouvrir comme les cuisses d'une femme...

     

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    Toute une série de crêtes par-dessus les tamaris.

     

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    Une route accidentée qui plonge dans un désert de pierres.

     

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    Autre bastion propice à l'aventure !

     

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    Et devant cette forteresse crénelée, le vent souffle avec violence dans les saules.

    Mais que vois-je en face de ce paysage, juste derrière moi ... ?

     

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    Un bouc, descendu brouter au bord de la route !!

     

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    Il s'approche tranquillement. Je n'en avais encore jamais vu !

     

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    Mais quand une voiture approche, il a tôt fait d'escalader la paroi à pic. J'en suis stupéfaite.

    Alors nous quittons les environs immédiats pour visiter un peu les environs,

     

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    et arrivons à la dalle paléontologique de la Lieude, qui décrit l'évolution géologique du terrain environnant. Cependant il fait si sombre que la plaque elle-même ne me paraît pas pouvoir être photographiée, et je me contente d'essayer de saisir, de loin, le château en ruines qui la surplombe : le château de Malavieille.

     

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    J'ai beaucoup de mal à le saisir.

     

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    Quand on passe derrière on voit sur quel escarpement il a été construit, place forte indéniable.

    Je me fais un malin plaisir à prendre les plus petites routes possibles et soudain, que rencontrons-nous dans un champ ?

     

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    Des lamas !! C'est vraiment la montagne ici... Dépaysement assuré...

     

     

         Pour ceux qui voudraient mieux comprendre la formation du cirque de Mourèze et mieux le découvrir au grand soleil, voici deux sites que je vous recommande :

         1) celui de Wikipédia, avec toute une collection de photographies superbes.

         2) Celui du département, qui non seulement offre des explications plus accessibles que celles de Wikipedia avec de belles photos qu'évidemment il faut agrandir, mais encore propose une navigation vers toutes les curiosités des alentours.

        Cependant ce n'est pas ici que nous trouverons la dalle paléontologique de la Lieude, mais sur un autre site départemental (Le Clermontais)  : vous y verrez ce qu'elle signifie, mais aussi combien en prendre des photographies est peu attirant. 

        C'est sur le même site que vous trouverez de belles images du château de Malavieille, avec quelques précisions sur son histoire.

     
     
     
     

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