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Par Aloysia* le 1 Décembre 2011 à 12:00
Coccinelle d'été
Nichée entre les feuilles,
Rêves-tu de clarté
Quand le monde s'endeuille... ?
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Par Aloysia* le 28 Juillet 2012 à 12:00
Au cours de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques à Londres hier soir, sept milliards de confettis ont été lancés sur le stade lors de l'apparition de l'équipe de Grande-Bretagne, autant que d'êtres humains sur la terre - si l'on en croit le commentaire de Marie Drucker sur France 2.Au cœur vibrant du monde
Sept milliards de confettis
L’Humanité entière
(Photos Presse)
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Par Aloysia* le 23 Octobre 2012 à 12:00
Enfant aux yeux clairs
Aux cheveux de brume
Tu pleures sans raison
Au bord du fleuve qui passe
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Par Aloysia* le 24 Octobre 2012 à 12:00
Autre poème court et sans titre écrit après la rencontre avec Nicole Gdalia. J'avoue que, si mon style est si varié, c'est que je suis très impressionnable et adapte mon style à l'inspiration du moment. Parfois je me dis : "tiens ! c'est joli, ça : ça mérite un sonnet", et je travaille mon sonnet. Parfois - et ce sont quand même les moments que je préfère - il y a comme un chant qui naît au fond de moi ; et alors là, je me contente d'écrire... C'est justement comme cela aussi qu'écrit Nicole : "en méditation", dit-elle.Soleils
Chevelure d’étoiles
Immensité qui flottes
Entre deux abîmes
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Par Aloysia* le 26 Octobre 2012 à 12:00
Voici la troisième des six strophes que j'ai écrites la nuit qui a suivi la conférence de Nicole Gdalia, ne pouvant dormir (ici la première, et là la seconde)...Image tirée du net
Versant de mille folies
L’étrange histoire se déroule
Ainsi qu’un fleuve languide
Coulant entre deux pans
De miel sauvageJe ne peux lui donner un titre, ni dire que c'est inspiré des poèmes de Nicole - si ce n'est dans le style d'écriture. Mais c'est cette audition méditative de textes pendant plus d'une heure qui a fait qu'en un demi-sommeil toutes sortes de phrases me venaient que, comme en rêve, je voulais noter. Mais évidemment elles me renvoient toutes à moi-même : le soleil, la nébuleuse, c'est l'âme (ou le coeur vivant) ; le fleuve qui coule, c'est la vie ; et en fait je me retrouvais soudain là, comme perdue, face à ma vie. Vous le verrez plus précisément dans les strophes suivantes.
Le poème "L'oiseau des cimes" qui célèbre les retrouvailles avec soi-même est postérieur.
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