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    Coccinelle.jpg

     

     

    Coccinelle d'été

    Nichée entre les feuilles,

    Rêves-tu de clarté

    Quand le monde s'endeuille... ?

     

     

     

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  •     Au cours de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques à Londres hier soir, sept milliards de confettis ont été lancés sur le stade lors de l'apparition de l'équipe de Grande-Bretagne, autant que d'êtres humains sur la terre - si l'on en croit le commentaire de Marie Drucker sur France 2.

     

    Photo-presse.jpg

     

    Au cœur vibrant du monde
    Sept milliards de confettis
    L’Humanité entière

     

    Photo-AFP.jpg 
    (Photos Presse)  

     

     

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    Enfant aux yeux clairs
    Aux cheveux de brume
    Tu pleures sans raison
    Au bord du fleuve qui passe

     

     

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  •     Autre poème court et sans titre écrit après la rencontre avec Nicole Gdalia. J'avoue que, si mon style est si varié, c'est que je suis très impressionnable et adapte mon style à l'inspiration du moment. Parfois je me dis : "tiens ! c'est joli, ça : ça mérite un sonnet", et je travaille mon sonnet. Parfois - et ce sont quand même les moments que je préfère - il y a comme un chant qui naît au fond de moi ; et alors là, je me contente d'écrire... C'est justement comme cela aussi qu'écrit Nicole : "en méditation", dit-elle.

     

    Nébuleuse

     

     

     

    Soleils
    Chevelure d’étoiles
    Immensité qui flottes
    Entre deux abîmes

     

     

     

     

     

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      Voici la troisième des six strophes que j'ai écrites la nuit qui a suivi la conférence de Nicole Gdalia, ne pouvant dormir (ici la première, et la seconde)... 

     

    fleuve.jpgImage tirée du net

     

     

    Versant de mille folies
    L’étrange histoire se déroule
    Ainsi qu’un fleuve languide
    Coulant entre deux pans
    De miel sauvage

     

     

        Je ne peux lui donner un titre, ni dire que c'est inspiré des poèmes de Nicole - si ce n'est dans le style d'écriture. Mais c'est cette audition méditative de textes pendant plus d'une heure qui a fait qu'en un demi-sommeil toutes sortes de phrases me venaient que, comme en rêve, je voulais noter. Mais évidemment elles me renvoient toutes à moi-même : le soleil, la nébuleuse, c'est l'âme (ou le coeur vivant) ; le fleuve qui coule, c'est la vie ; et en fait je me retrouvais soudain là, comme perdue, face à ma vie. Vous le verrez plus précisément dans les strophes suivantes.

       Le poème "L'oiseau des cimes" qui célèbre les retrouvailles avec soi-même est postérieur.

     

     

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