-
Suite de cet article
Couverture du microsillon "Le chant du monde"
Voici la suite des aventures de nos deux coquins, Tchouk (environ 7ans) et Ghek (environ 4 ans) commencées ici.
Le conte d'Arkhadi Gaïdar n'est plus édité à ma connaissance, et la musique d'accompagnement est empruntée à Serge Prokofiev. L'histoire se situe dans la Russie soviétique des années 50 (probablement sous Khroutchev puisqu'il est question à un moment de Spoutnik).
Tchouk et Ghek se sont donc embarqués, après trois jours de préparatifs, avec leur mère Nadia Séréguine dans un train en partance de Moscou vers le Grand Nord Sibérien, une fin décembre, pour rejoindre leur père retenu par son travail sur une base de prospection géologique et y passer avec lui les fêtes de fin d'année. La chose ne s'étant jamais produite jusqu'ici (leur père revenait habituellement à la capitale), c'est la première fois qu'ils entreprennent un tel voyage, et même qu'ils prennent le train. De plus, ils y passent trois jours et trois nuits : c'est une expédition ! Dans l'extrait ci-dessous nous découvrons les aventures du petit Ghek qui la première nuit, ne parvient pas à dormir...
Tchouk : Le petit Jean-Paul .
Ghek : Le petit Bruno.
Le contrôleur : Jean Verneuil
Adaptation et dialogues : Muse Dalbray.
Disque "Le Chant du Monde".
à suivre ici ...
1 commentaire -
Je viens de recevoir cette alerte par mail. Elle n'est certainement pas d'aujourd'hui et certains d'entre vous la connaissent sans doute déjà. Cependant je ne résiste pas au désir de vous la faire connaître aussi sur ce blog.
Il s'agit du film "Nos enfants nous accuseront", qui souligne l'impact désastreux des nouveaux pesticides sur notre alimentation, et particulièrement sur la santé de nos enfants.
Moi qui m'imaginais que la nourriture que j'absorbais était la même que celle que m'offraient mes parents dans mon enfance ! Eh bien il paraît que maintenant il y entre tant d'additifs chimiques que choisir le "bio" va devenir indispensable... ! Voyez plutôt la bande annonce ci-dessous.
1 commentaire -
Que je réponde à Crépusculine, qui m'a taguée il y a quelque temps déjà !
Le tag consiste à ouvrir le premier dossier de ses images, et d'y choisir la 10e photo, pour la publier... La voici donc :
Il s'agit d'un arbre remarquable dans le Massif du Plomb du Cantal, près de SuperLioran.Pour retrouver cette image dans son contexte, voyez ici. Vous verrez une autre photo, qui accompagne un poème inspiré par ces arbres.Ensuite, il faut désigner 6 autres blogueurs pour leur demander de prendre la suite. Le souhaiteront-ils ? ... Sachant que beaucoup de ceux que j'ai déjà tagués ne tiennent pas à l'être à nouveau, je vais donc m'adresser à d'autres candidats...
1 commentaire -
Souvenir d'un apprentissage du ski tardif et succinct, mais ô combien apprécié !
(le poème a déjà été publié l'an passé, mais date de beaucoup plus longtemps)
Cette piste, située à Bussang dans les Hautes-Vosges,
ressemble à la piste centrale de Super-Besse sur laquelle j'ai pris mes deux
uniques leçons de ski, et éprouvé ce qui est exprimé ci-dessous.
Immuablement froide et ferme à l'horizon
Elle te fortifie tel l'œuf originel
Et voici ton chemin, ton paysage neuf :
A travers ces talus, ces buissons, ces rochers
Tu la vois qui t'aspire,
Et c'est la voix des cimes,
Et c'est ta voix nouvelle,
Et c'est ta voie majeure,
Sainte Marie Majeure,
Sainte Epée de Folie !O Neige tout éclat,
Tu brilles à l'infini ;
Tu fumes d'or tissé
Et je glisse...
Et voilà, j'ai glissé, et le gouffre a parlé,
Le gouffre m'a saisie, et je file, emportée
Vers où, je ne sais pas,
Vers le bord où je meurs,
Vers le bord où je veux, vers le bord d'où je sors
Des feux du désespoir,
Où dans l'effort conscient je change
Et modifie ma trajectoire,
Où triomphalement je décide de vivre,
Et encore, et encore,
Où je dis : me voici,
Et me voici encore !O Neige, resplendis :
Ton ciel est bleu profond...
La voix me dit : respire !
Et bientôt tu m'accueilles,
Et bientôt je suis lasse,
Et bientôt je suis là,
Blottie
Dans toi,
Au creux de ta froide blessure,
Dans l'absence même de la Terre,
Dans la molle pression d'une eau décente
Et dans la joie sans fond de la descente,
Dans le cri de terreur d'une chute insensée :
Jaillis !!!
Jaillie de toi depuis toujours,
Je gis au creux de ton sourire écumant de velours :
Je suis l'oiseau oublié de tes doigts
Qui a volé, qui est tombé,
Qui a trouvé
Et son ciel, et sa lune,
Et ses étoiles...
1 commentaire